L’assurance vie est un contrat par lequel l’assureur s’engage à verser un capital à ses bénéficiaires en contrepartie d’un paiement. Elle permet de répondre à de nombreux objectifs patrimoniaux en matière de placement d’épargne, d’optimisation de la fiscalité de gains ou de la transmission d’un patrimoine. À ce titre, retrouvez dans cet article quelques avantages d’une assurance vie.
Un placement financier
En premier lieu, l’assurance vie est un placement où il est possible de faire un contrat individuel ou collectif. Il est également possible de faire des versements de façon périodique afin de multiplier son épargne. D’une autre part, l’assurance vie est une solution de placement adaptable à plusieurs sortes de projets. Son objectif est l’épargne d’un montant ponctuel en guise de précaution pour l’avenir. À titre d’exemple, un parent peut décider de cotiser pour la scolarité de son enfant ou de préparer sa retraite. Et pour concrétiser réellement cela, il est important de s’adresser aux meilleures assurances vie. De plus, concernant les contrats d’assurance vie, l’épargne peut être effectuée sur le fonds euros ce qui est peu rémunérateur, mais avec une garantie. Ou bien sur les unités de compte avec une rémunération plus élevée.
La fiscalité de l’assurance vie en cours de contrat
Sur le plan fiscal, l’assurance-vie bénéficie d’un cadre avantageux. C’est un placement qui peut être à long terme ou à moyen terme. La fiscalité devient plus alléchante au-delà de huit années de détention, car à ce moment-là, elle devient plus souple et douce permettant au client de bénéficier d’un abattement.
En plus, les produits ne sont pas imposés sans que le retrait ne soit fait, mais ils sont imposés en cas de rachat. Le rachat comporte une partie du capital et une autre partie de produits appelée plus-value. Ceci est à un taux d’imposition qui dépend de la date des versements et de l’ancienneté du contrat fait. Il faut aussi noter que l’entrée en vigueur du prélèvement forfaitaire unique en 2018 a permis d’encadrer la taxation du capital à un taux de 30 %. Toutefois, les produits ne sont pas imposés sur le revenu si le rachat résulte du licenciement de l’adhérent ou de son conjoint.